par Voici tout ce qu’il faut savoir sur le Festival des Arts et du Rire de Labé (FAR) à travers cette belle présentation rédigée par la Direction du festival :
« Le Festival des Arts et du Rire de Labé en abrégé FAR a vu jour en 2016 et c’est rendez-vous à Thématique dont (Taxi Moto 2016, La lecture est mon affaire 2017, Merd’Terranée 2018, Eco’Rire 2019, Hom’ ge 2022) . C’est le premier festival international organisé hors Conakry. L’objectif de ce festival a toujours été celui de former, de sensibiliser et de faire vivre le spectacle. Une façon de mettre en avant les arts, l’artisanat, le tourisme et la culture.
Cette année, nous le nommons «BRAND’ART ». C’est dans l’esprit de faire le branding de notre Guinée à travers l’humour et la culture parce qu’il n’y a pas mieux que les arts pour brander le pays que nous le faisons. C’est pourquoi depuis 2016, chaque année, nous recevons au moins deux pays invités. Le FAR, c’est aussi un lieu où plusieurs artistes ont été mis en lumière. Des artistes comme Saifond Baldé, Sonna Seck -Tourou Tourou-, les Sky Boys (Alphadja Bobozaba et TBS), HezboRap, Pastoral Queen,Thierno Mamou ou encore Diallo Cravate. C’est donc l’espace idéal pour la promotion des talents cachés.
Depuis notre création, nous avons reçu des grosses pointures de l’humour de par le monde. Nous avons eu Adama Dahico, Salif C (Mode), le duo Zongo et Tao, Michel Gohou, Le Magnific, Malam Adamo et Pap Sow. Sans oublier les Guinéens qui ont fait rire plus d’un. Nous avons eu le doyens Sow Baïlo, Sow Pedro, Zebal Traoré…
Du côté des chanteurs, nous avons eu Binta Laly Sow, les Zawagui, Lama Sidibé, Alphadio Dara, Pathé Moloko…
Pour la musique urbaine, nous avons eu Djanii Alfa, Fac Alliance, les danseurs Pokémon, le Cirque Manding, le Cirque Tinafan…Du côté du slam et contes, nous avons eu Hadja Zenab Koumanthio, Le Guide, L’héritière, le Philanthrope, Paikoun Foulawa…. sans oublier les troupes et compagnies théâtrales qui nous ont accompagnés : les Messagers du Temps, Étoile africaine, Paikoun No Mawna et ATAG. C’est une façon pour nous de contribuer à l’essor de la culture puisque le FAR, c’est cinquante pour-cent d’humour et cinquante pour-cent de culture. Par culture, entendez : artisanat, slam, musique et tous les autres arts et activités artistiques en général.
La particularité de cette année est que tout le festival va se dérouler dans nos locaux « Ka Werdhè ». Donc, depuis 2016, à travers le rire et la culture, nous contribuons à vendre l’image du pays. Chaque année, nous recevons plus de deux cent festivaliers et nous réussissons à mobiliser et toucher en cinq jours d’activités plus de cinquante mille personnes pendant (Spectateurs, réseaux sociaux et les médias). »
